Comme il semble, devant le peu d’enthousiasme soulevé, que vous n’aimiez pas les vieux pots, j’ai décidé d’un commun accord avec moi-même, n’est-ce pas, de chroniquer du plus récent, du juvénile, de l’acneïde rockenbolesque electro zouk.
Devendra Banhart – Für Hildegard von Bingen
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=gqGUM1TrJgk[/youtube]
Impeccable en 2013, Devendra Bahart, auteur compositeur interprète, est le proto poto-type. Voilà un ricain née au Texas en 81, je rêve, en passant par Le Venezuela et Los Angeles par accident de la vie, qui nous délivre dès son 1er LP The Charles C. Leary en 2002, de l’inclassable aux tifs long, de l’hétéroclite à gogo castellanais ou de simples balades pop so british.
Devendra Banhart – Never Seen Such Good Things
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=q8MqQWhKvpE[/youtube]
Alors autant profiter de cette sortie du dernier disque Mala, expérimental folk-psychédélique qui commence à sortir de son intimisme limite maladif pour une musique plus ouverte avec un soupçon de légèreté entraînante.
Devendra Banhart – Mi Negrita
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Nf-9jLF6mIk[/youtube]
Ce voyageur inclassable vous fera faire un jolie voyage aux grès de ses oscillations musicales d’un continent à l’autre sans vous attirer les foudres du fisc pour blanchiment d’argents sales. Singapour, mon amour, comme a dit un célèbre homme politique de la fin fin du XXème/ début du XXIème siècle qui stoppa net sa carrière sur un coup de tête (derrière celle-ci, d’ailleurs).
Devendra Banhart – Daniel
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=4fLYYNfSzzQ[/youtube]
oui, Devendra Grand, soyez en sûr.
Moi, je vais finir mon curaçao nutela light bio.
SE VENDE – appt cosi-immédiatement libre, l’appart, pas le proprio
contact Docteur C., Agence Volfoni, Grand Via, Singapour.