Il y a quelques temps, un journaliste a écrit que Mélissa Laveaux était, je cite : “La coqueluche des parisiens” , titre ensuite repris dans toute la presse…
La coqueluche est une infection respiratoire bactérienne peu ou pas fébrile de l’arbre respiratoire inférieur, mais d’évolution longue et hautement contagieuse, selon Wikipédia.
“La coqueluche des parisiens, non mais je rêve, je te foutrais une bonne paire de claques dans ta g…. !” Il faut savoir que parfois en province certaines personnes écoutent de la musique, et que parfois ils l’apprécient, il arrive même que de temps en temps ils aillent voir les artistes en concert.
Magnifique reprise d’Elliot Smith “Needle in the Hay”
Je suis un ancien parisien, et j’ai toujours détesté ce type de remarque nombriliste et débile (très parisienne pour le coup.)
Mais heureusement Mélissa est là, pour m’apaiser, avec sa voix chaude, suave, très légèrement cassée, délicieuse. Elle a un talent époustouflant. Elle est unique et a un sourire ravageur.
Elle sait nous montrer que la musique n’a pas de frontière (cher journaliste), elle est d’ailleurs elle-même Haïtienne installée à Ontario (Canada). Je le sais sans avoir lu de “papiers” mais simplement parce qu’elle me l’a dit (enfin…au public) lors d’un concert du Chantiers des Francos à La Rochelle, et c’est bien sur scène que sa musique, son univers prend toute son ampleur…
Elle nous a offert l’album “Camphor & Copper” qu’il vous faut écouter en boucle, c’est bientôt l’été et cette pépite est parfaite pour le passer en beauté en sa compagnie !
A écouter ici : www.musicme.com
Melissa, tu n’es pas une coqueluche, par contre tu m’accompagnes très souvent et ce depuis un bon moment. Coqueluche, non mais…je t’en foutrais des coqueluches !
stef !
merci Steph de prendre notre défense à nous pauvres provinciaux.
ceci dit j’adore cette fille, elle a une voix qui nous transporte.